Alerte sur les jeux vidéo. L'O.M.S. a classé l'addiction à ces jeux comme maladie. En somme, ce n'est pas pour rien. Notre réflexion.
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Une perte de la concentration
Oui, l'addiction aux jeux vidéo est bien une maladie. L'Organisation Mondiale de la Santé le reconnaît officiellement. Les jeunes joueurs " accros" rencontrent des pertes de sommeil. Et ce n'est pas tout au niveau des carences. Cette addiction entraîne aussi des graves pertes d'appétit et mais, aussi, et surtout, une perte de la concentration. A travers l'utilisation permanente de ces jeux, qu'ils soient smartphones ou écrans tablettes, les spécialistes ont noté une modification du comportement.
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Au prix de tous ces phénomènes dangereux
Mais, il y a pire : les jeux en réseaux. Eux aussi, ils rendent la pratique plus addictive. C'est pourquoi, l'O.M.S. après avoir consulté de nombreux spécialistes à l'échelle mondiale à intégré ce trouble dans la classification internationale des maladies. Par ailleurs, il faut dire que ce genre de divertissement permet " l'évasion" du quotidien. Mais au prix de tous ces phénomènes dangereux tant pour la santé physique que mentale. Bref, les parents en sont-ils conscients ?
Plus de cinq heures au quotidien
C'est le cas de nombreux joueurs " accros " avec le risque de l'abandon de toute vie sociale. En effet, l'abus de jeu annihile tous les autres centres d'intérêt. Y compris le sommeil et les repas. Or, selon nos informations, 15 % des jeunes de quatorze à vingt-quatre ans déclarent jouer entre deux et cinq heures par jour. Mais, fait plus grave, 10% consacrent à ces jeux plus de cinq heures au quotidien. Enfin, à force d'encourager ces habitudes, le réel s'efface de l'esprit de ces jeunes au profit du virtuel. Que feront demain ces générations conditionnées au meurtre à travers certains modèles de jeux démunis de toute valeur morale ?
VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=MTSzsXFAzDA
