Choix électoral des Français : " Les jeux sont... presque faits ! "
Choix électoral : les jeux sont... presque faits !
Choix électoral des Français : " Les jeux sont... presque faits ! " Et voilà ! Le moment du « Faites vos jeux ! » est révolu. Nous sommes rentrés dans la sphère des « Jeux sont faits ! » ou presque. La roulette a entamé sa ronde. Elle terminera sa course dimanche soir à 20h donnant le nom du gagnant de ce grand rendez-vous présidentiel...
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" La peste et le choléra "
Dimanche soir, nous aurons, enfin, qui d’Emmanuel Macron de Marine Le Pen emportera le fauteuil présidentiel. C'est pourquoi, pour un bon nombre de Français, le choix sera difficile beaucoup n’oseront pas glisser un bulletin de vote. Martial, 22 ans, un jeune marseillais, nous confiait : « Entre la peste et le choléra, je ne peux pas choisir ! » Tandis que Caroline, Bordeaux, 28 ans et sa sœur Christine 26 ans, savent, depuis longtemps vers qui elles porteront leurs suffrages. Grégory, chef d'entreprise toulousain reste perplexe. Prudent, il pèse les enjeux. Ses incertitudes lui font entamer toutes ses phrases par : " Et si..."
Les attentes sont différentes
Bref, pour un nombre considérable d’électeurs, à l’exception des plus engagés des deux camps, se prononcer pour désigner un(e) candidat(e) en ce contexte, très particulier, semble impossible. Qu’en pensent, au juste, nos chefs d’entreprise, nos salariés, nos demandeurs d'emploi, nos retraités, nos contribuables, et nos jeunes étudiants. En somme, les avis divergent et les attentes sont différentes. Car, selon le vainqueur de la présidentielle leur destin ne sera, évidement, pas le même ! Les ressentis des politiciens et des économistes se parent de flottements. Alors, quel dilemme pour le Français moyen son porte-monnaie et son avenir !
Comment réagirons les Français ?
En effet, chaque candidate défend un programme diamétralement opposé. Mais, l’un est fortement impacté par un bilan très discutable, l’autre sur l’histoire et l’origine de son parti, malgré des aménagements fulgurants et sociaux. Alors, finalement, comment réagirons les Français ? Soutiendront-ils la poursuite d’une politique autoritaire maintes fois rejetée ? Ou bien s’orienteront-ils vers des affaires publiques plus souverainistes ? Enfin, le " ras-le-bol " généralisé pourrait bien les y conduire.