Covid 19 : les dernières confidences du professeur Raoult
Covid 19 : les dernières confidences du professeur Raoult. Il fallait s'y attendre le directeur de l'Unité de Recherche sur les Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes avait encore un grand nombre d'informations à nous communiquer. Mais, aussi, et, surtout, des précisions à apporter sur ce terrible dossier du Covid-19. Alors, il a publié un livre étonnant dont nous reproduisons des extraits édifiants !
Réflexion scientifique
Sans doute, à Paris, on a voulu faire taire ce tribun dérangeant, car ses théories sont troublantes. Alors, Didier Raoult, à décidé de s'atteler à l'écriture d'un ouvrage particulièrement documenté, mais accessible au plus grand nombre. Ce livre : " Épidémies, vrais dangers et fausses alertes " donne le ton à une véritable réflexion scientifique. Le reste du contenu nous enseigne une vraie leçon de bons sens; une leçon que devrait entendre la plupart des pontes de la médecine. Mais ceci est une autre histoire...
Avant-propos :
Le professeur Raoult nous éclaire : " Toutes les épidémies potentielles prétendument effrayantes groupées depuis vingt ans ont difficilement dépassé 10 000 morts, dans un monde où l’on observe 56 millions de décès par an. Pas très impressionnant.
... En revanche d’autres épidémies ont été négligées, dont le choléra en Afrique et surtout à Haïti qui a tué 10 000 personnes, et le typhus en Afrique de l’Est qui a lui aussi fait 10 000 morts. L’énorme épidémie de Clostridium difficile, pour sa part, tue entre 60 000 et 100 000 personnes par an dans le monde.
Les confidences de Raoult
De la grippe aviaire au Covid-19 Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus, Didier Raoult se penche sur ces épidémies. " On a prédit des millions de morts : il n'en a rien été. "
Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début. Leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.
Un livre qu'il faut lire sans s'affoler, mais en restant, tout de même prudent !