Dépenses publiques : A quoi faut-il s'attendre avec Macron ?
Dépenses publiques : A quoi faut-il s'attendre en cas de réélection de Macron ? Les dés sont-ils joués pour lui ? Rien n’est jamais gagné en matière d’élection mais le contexte lui est plutôt favorable. En bon « chef de guerre » sa côte de popularité est remontée. Alors, avec un second quinquennat, à quoi faut-il s’attendre ?
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Réduction des dépenses publiques
A décortiquer le programme du Chef de l’État, connaissant maintenant son tempérament, et, compte-tenu des événements actuels, cinq années d'hyper austérité nous attendent. En priorité, regardons de près la perspective avec cette réduction des dépenses publiques annoncée. Il n'y a pas de quoi mettre en appétit électoral les millions de personnes en état de pauvreté ! Alors, faut-il s'en inquiéter ?
Conséquences sociales
Peut-être ! Car, les mesures envisagées pour combattre cette crise économique s'inscrivent dans une démonstration de logique comptable visant à rassurer Bruxelles. Si son application voit le jour, elle résonnera sur des conséquences sociales dignes des régimes austères. Le prochain quinquennat d’Emmanuel Macron risque donc d’être fortement assombri par ces dispositions !
Écoles, police, hôpitaux, premiers visés
Le président nous annonce une : " compression des dépenses publiques ". Autrement dit : " moins de services publics ". Écoles, police, hôpitaux, seront, donc, les premiers visés. Mais, déjà, en sous effectifs et en manque de moyens matériels, ces institutions auront à supporter l'ire de leurs salariés. Au risque de déclencher, très vite, une tempête infernale semblable, ou pire, à celle des Gilets jaunes... Sans oublier la refonte du système des retraites dont les conclusions risquent de semer, aussi, le désordre.
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Rigueur budgétaire annoncée
Avec l'idée d’inscrire le principe de rigueur dans... la constitution ( Travailler plus et plus longtemps ) Macron, histoire de limiter annuellement l’augmentation de la dépense publique (0,7%) marche sur des braises. Son projet économique devra donc supporter des restrictions, des révisions importantes, avant son application. Il devra, surtout, faire l'objet d'une étude réaliste pour tenir la courbe des dépenses.
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