Et si l'isothérapie pouvait remplacer la vaccination ?

Publié le mardi 4 janvier 2022Rédigé par Joël-Pierre Chevreux
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Et si l'isothérapie pouvait remplacer la vaccination ? Selon nos informations, Il y aurait, aujourd'hui, en France plus de 120.000 cas recensés d'effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 dont 30.000 personnes classifiés cas graves. Nombreuses sont, aussi, les personnes qui ne se contentent plus de l'argument du " bénéfice risque "...

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Tintamarre médiatique

Le chiffre des réticents à la vaccination confirmerait donc, près de six millions de personnes en France. Mais, comment faire le tri dans tout ce tintamarre médiatique où règne la contradiction ? Or, réfuter le vaccin, n’est pas délibérément contribuer à entretenir l’épidémie, comme le prétendent certains médecins. Cette affirmation repose sur la plus mauvaise foi... Pourquoi ? Car, il existe des moyens naturels de se préserver du virus autrement que par une action dont on ne connait pas la destination finale dans le futur.

Prise de conscience

D'abord, réfuter le vaccin, n’exonère pas la prise de conscience de la gravité de ce virus et de sa rapidité de contamination. Sa protection commence par l’observation des gestes barrières, la stricte limitation des contacts, le dépôt d’une huile essentielle virucide sur un masque FFP2 et, bien entendu, le lavage fréquent des mains, sans oublier l’aération des lieux de résidence et professionnels.

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Et toujours Big Pharma

Se positionner en qualité d’anti vaccin, c’est, aussi, oser un mépris. Non pas à l’égard des professions soignantes si dévouées et compétentes. Mais, envers Big Pharma dont le but ultime n'est que l'observation de son marché financier élevé à plusieurs milliards d’Euros. Et, comment accorder la moindre confiance à ces groupes industriels qui poursuivent leurs recherches à travers la non scientifique et cruelle expérimentation animale ?

L'isothérapie un autre moyen de lutte...

Prévention ou guérison pourraient dépendre de deux solutions dépourvues de conséquences iatrogènes. Mais, ces principes sont désormais interdits. Cherchez l'erreur ! Il s'agit d'une part, des auto-isothérapiques ( prélèvement sur le malade. Dans le cas présent cela pourrait être son sang... ) afin de recueillir l'agent causal. Puis, préparation, d'une dilution selon le procédé homéopathique (sans danger). Il s'agit d'une sorte d'auto-vaccin ( car qu'il n'existe pas de vaccin au sens de ce terme en homéopathie... )

Considérés comme des marginaux

D'autre part, il existe aussi un procédé dit : " biothérapique ". Ces remèdes sont préparés à l'avance et non d'une manière spécifique. Ils pourraient être élaborés à partir d'une variété de virus comme celui du Delta ou Omicron. Mais, hélas, aujourd’hui, l'isothérapie est présentée comme marginale. Elle a pourtant montré ses effets bénéfiques durant des décennies. En effet, il faut savoir que les maladies contagieuses renferment dans leurs produits les éléments de leur guérison en donnant au malade la substance directement prélevée sur lui.

Bien sûr, il ne s'agit pas, ici, de la thérapeutique homéopathique traditionnelle qui serait, hélas, bien impuissante dans la lutte contre le Covid-19. Il faut le préciser !

Scandaleusement supprimée

L'isothérapie à été scandaleusement supprimée de l'arsenal thérapeutique des homéopathes. Étonnant ? Abonder dans cette direction, restreindrait le principe vaccinal tel que nous le proposent les scientifiques à la solde des puissances pharmaceutiques. Entre temps, le modèle pasteurien est passé par là en développant ses sérums et ses vaccins. La suite, on la connait !

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