Et si nous faisions sur pause sur le monde ? Jadis, Gérard Lenorman chantait " la ballade des gens heureux ". Aujourd'hui, ce temps paraît bien suranné. Alors, pourquoi ne pas profiter de l’été pour lâcher un peu de lest dans nos informations même si l’actualité génère moultes sources d’inquiétudes. En verra-t-on bientôt l’achèvement ?
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« Je suis épuisé »…
De fait, la phrase revient souvent sur toutes les lèvres. Le monde est plongé dans une tornade terrifiante. Bref, elle ne fige jamais. Depuis l’épidémie de Covid-19 et ses trois saisons, les problèmes se succèdent attisés par les chaînes en continu spécialistes des sujets anxiogènes. En outre, pas un seul jour sans une série d’annonces alarmistes. Depuis les hypothétiques prévisions météorologiques caniculaires quotidiennes jusqu'aux coupures d’électricité de l’hiver dernier le catastrophisme est là. Or, rien de tel ne s’est déroulé outre une pénurie de poêles à charbon ou à pétrole. Puis est survenue celle des pâtes et même celle du… papier-toilette. Conséquence : la précipitation d’une majorité de Français.
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Le wokisme avec son regard détourné
Réforme des retraites, guerre en Ukraine, menace nucléaire, futurs ravages de l’intelligence artificielle au niveau des emplois, chaque jour, nous avons droit à notre lot de nouvelles inquiétantes. Avec, en prime, une bonne dose de sinistrose. Les " prévisionnistes " d'aujourd'hui remplacent les " complotistes " d'hier pourtant lucides sur la réalité de l'épidémie et la validité des vaccins. Et, par ailleurs, nos hôpitaux manquent de lits ( on consulte dans certaines villes sur les parkings ). Et voilà, maintenant, qu’un nouvel intrus s’invite à la table des catastrophes : Le wokisme. Son regard détourné sur le racisme, le paternalisme, le féminisme et l’homophobie inquiète. Il ouvre un véritable déchaînement de pensées peu circonstanciées rageuses de l’universalisme. Dans quelle direction brouillardeuse évolue-t-on encore ici ?
Si l’on rangeait cela au placard pour quelques semaines
De fait, les lieux publics, théâtres de violences verbales ou physiques, désignent ce XXI° siècle, comme celui de la sauvagerie. La télévision et les jeux vidéo en portent la responsabilité. Alors, si l’on rangeait tout cela au placard, une petite pause, juste pour quelques semaines, histoire d’oublier que la vie ce n’est pas tout cela. En définitive, un monde où règnent la misère et le malheur. Enfin, il suffirait, en premier lieu, que les animateurs des réseaux sociaux se décident à déployer la solidarité et la bonne humeur. Au moins, là, ils afficheraient leur utilité.
VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=BhYsRhsdXUY