Andorre : Le bal des escrocs faux architecte et complice
Nous publions aujourd’hui le communiqué de presse de l'association Justice Angels comité de soutien des personnes subissant des injustices ( Dossier : Catherine Techer ) intitulé le bal des escrocs faux architecte et complice. Ce message fait suite à notre article publié le 9 octobre courant.
Début du communiquéLe bal des escrocs : faux architecte et son complice
En Andorre, on prive de liberté les victimes de harcèlement et on favorise les agissements des cybercriminels. Une justice complice d’un cybercriminel doublé d’un maître-chanteur.
Justice mafieuse
C’est ainsi qu’une citoyenne française, Catherine Techer, qui a voulu entreprendre en Andorre et apporter sa contribution à ce pays, est devenue la cible d’un cyberharceleur... et d’une justice mafieuse. Aujourd’hui, elle est privée de toute liberté depuis trois mois. Dans le même temps, le cybercriminel dont elle est la proie est libre d’agir en toute impunité. Il est soutenu par une presse locale vendue et une justice déloyale !
Bienveillante à son égard !
L’horreur de cette injustice ne suffisait pas ! Cette femme d’affaires, Catherine Techer, doit, en plus, souffrir de voir tout le dossier d'instruction, comprenant les pièces réquisitionnées par la Police et toutes les informations concernant son identité et sa famille, censées être protégées par le secret de l’instruction, publiquement diffusées sur internet. En effet, son bourreau s’est vu remettre directement et intentionnellement – par la justice andorrane - le dossier d'instruction de Catherine Techer… De quoi le faire jubiler de se voir tant aidé par la mascarade d’une justice andorrane aux méthodes maffieuses.
Jusqu’à quand une citoyenne française, privée de liberté, de sa famille et de toutes ressources, devra-t-elle subir une telle avanie ?
Complaisance des autorités andorranes
La liberté d’action laissée à ce cybercriminel lui permet d’orchestrer sur les réseaux sociaux une campagne de diffamations outrancières. Par ailleurs, l’inexistence des faits dénoncés est rendue plausible par la complaisance des autorités andorranes lesquelles en acceptant d’instruire sur la base de faits imaginaires donnent échos à ces diffamations et crédit aux propos du cyberharceleur…
De faits qui doivent être connus de tous
A deux pas de la France, dans une principauté où le Président de la République Française est le co-Prince, les cybercriminels sont favorisés par la justice et les femmes cyberharcelées sont privées de liberté. Cela doit se savoir.
Lorsqu’un escroc réveille les appétits d’autres prédateurs…
Catherine Techer a toujours conduit ses affaires en faisant confiance aux personnes qui souhaitaient lui proposer leurs services. Est-ce un tort ? Faut-il à notre époque se méfier de tout le monde ? La simple parole donnée n’a-t-elle plus aucune valeur ? Faut-il tout écrire, tout faire vérifier, ne croire en rien ni en personne ? Le contrôle a-t-il pris le pouvoir sur la confiance en l’être humain ?
Savoir lui dire ce qu’elle a envie d’entendre
En 2020, amenée à devoir modifier sa stratégie d’entreprise, elle accueille un architecte et son épouse dans son équipe afin de conduire ensemble de nouveaux projets de développement très prometteurs pour son entreprise. Ils ont un talent particulier : celui de savoir lui dire ce qu’elle a envie d’entendre ! Elle est donc une proie facile pour ces escrocs d’un nouveau genre dont la limite mytho-maniaque s’arrête à la sècheresse de leur portefeuille.
Séduite par les projets
Le premier, se présente comme un architecte réputé en France, ayant conduit d’importants projets, mais désormais fatigué par des associations d’affaires qui n’ont pas respecté ses valeurs « fondamentalement honnêtes ». Ayant déménagé en Andorre avec son épouse et leurs enfants, ils sont plein d’idées et de ressources. Catherine Techer est séduite par leurs qualités annoncées et leurs projets. Elle leur confie d’importantes responsabilités au sein de sa structure nouvellement recomposée.
L’aventure commence ! L’horreur également !
Il s’agira très vite de pouvoir procéder à d’importantes modifications dans le chalet qu’elle loue en Andorre, avec l’accord du propriétaire, puis de conduire les travaux d’un bien acquis en France en tant qu’actif patrimonial de la société dont la valeur doit être multipliée par cinq en quelques années et d’importants travaux.
Voitures « super cars »
Et puis, l’on parle également de voitures « super cars », passion du couple d’escrocs, dont la reprogrammation permettra d’assurer de meilleures performances et une consommation moindre. L’idée se fera corps et un local sera loué à cet effet dans lequel de nouveaux travaux seront entrepris sous la tutelle du prétendu architecte.
L’architecte n’en était pas un !
On avancera également un projet : celui de concevoir des résidences à partir de containers recyclés et traités. Un projet moderne et ambitieux qui respectera la planète. Séduisant ! Que de magnifiques projets pour assurer le développement des actifs et des activités de l’entreprise ! Sauf que... l’architecte n’en est pas un !
Faux témoignage
En fait, il en a fait les études. Mais, il n’en a plus la qualité depuis que sa licence lui a été retirée en France. Interrogé par la justice en Andorre, il se présentera dans un faux témoignage honteux, comme « décorateur » au même titre que son épouse ! Architecte ? Jamais ! Il a pourtant entrepris en France, comme en Andorre, des travaux en usurpant cette qualité professionnelle.
« Tout est en règle ! »
De fait, la demeure dont il est censé assurer la maîtrise d’œuvre lui sert de tremplin financier. Il fait signer les plans des travaux par un architecte complaisant de Grenoble afin de les présenter à la Mairie. Cette dernière ne lui donnera pas l’autorisation de les réaliser, mais il préfèrera dire à Catherine Techer que : " tout est en règle ! "
On invente de bonnes nouvelles
Pour opérer ses forfaits, il intègrera vite dans la partie un maçon de ses amis, et ensemble ils surfactureront les prix des matériaux et des prestations. On multipliera par deux, par, trois parfois même par... cinq ! On trouvera des arguments pour justifier les coûts, on inventera de bonnes nouvelles, on influencera, on manipulera… et quand l’escroquerie sera découverte, alors on mentira à la justice andorrane !
Des prix exorbitants
L’actif est cependant bien réel et les services d’experts mettront à jour la forfaiture ! Des prix pratiqués de manière exorbitante par le maçon, sans aucun scrupule, des mensonges qui borderont une escroquerie bien menée, l’auto-attribution d’une fausse qualité d’architecte, et, finalement, la mise en danger du bien concerné. Adieu, donc, le projet des conteneurs recyclés, adieu la reprogrammation des voitures de luxe, il ne restera que les procès et les indemnités pour essayer de couvrir la perte financière. Mais peu d’espoir face à des escrocs qui seront sans doute vite devenus insolvables.
Nous reposons donc ces questions :
- Faut-il désormais se méfier de tout le monde ? - En arriverons-nous à demander à son médecin la preuve de sa qualité et son appartenance réelle à la profession ? - Faut-il vérifier la qualité de chaque professionnel ? - Ne peut-on s’en remettre à la parole donnée ?
Le monde des affaires est impitoyable. Désormais, il semble prendre une nouvelle dimension et les mythomanes, comme les harceleurs, peuvent se liguer pour nuire à la réussite de ceux qu’ils ciblent pour les dépouiller.
Fin du communiqué
Note de la rédaction : Nous avons, nous aussi, notre sentiment sur la teneur de cet épais dossier, ses irrégularités et ses débordements. Nous y reviendrons prochainement lorsque nous aurons des éléments significatifs à y inscrire. J.P.C. LA REDACTION VOUS CONSEILLE : infopremiere.fr dossier-andorre-lenorme-scandale-qui-pese-sur-la-justice-de-ce-pays LIRE AUSSI : infopremiere.fr menaces-reelles-sur-les-candidattes-a-la-presidentielle LIRE AUSSI : marseilleopinion.fr suicides-a-marseille-il-tue-sa-femme-en-fin-de-vie