Justice andorrane : empêtrée dans une affaire dont elle peine à sortir !

Justice andorrane : empêtrée dans une affaire dont elle peine à sortir ! Retour sur un  dossier qui sème un vent de panique en France et en Andorre à cause de ses rumeurs totalement infondées. Ce dossier, c’est celui de Cahty Techer dirigeante de la société To The Top.

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Un dossier truffé d’irrationalités

Depuis, plusieurs mois, nos reporters continuent de mener leur enquête sur le dossier To The Top. Ce qu’ils y recueillent est consternant devant l’accumulation des preuves visant l’incohérence des éléments de cet évènement. Ils y relèvent, une nouvelle fois, des théories étonnamment irrecevables ou qui portent à la décharge de Cathy Techer retenue injustement en Andorre. En effet, depuis la fin juillet 2021, la justice andorrane s’est laissée enfermée dans ce dossier truffé d’irrationalités. Pour rappel : tout est parti des affirmations erronées d’un Belge prétendant que Cathy Techer se trouvait à la tête d’une immense escroquerie.

Des frileux doublés d'inconséquents

Une malversation imaginaire qui devait déboucher sur « plus de 21 millions d’Euros ! ». A la lecture d’une telle déclaration, en premier lieu, les proches collaborateurs de cette dirigeante se sont amusés de cette annonce. Une vraie farce ! Car, en effet, ce côté sordide et illusoire relevait autant de la bêtise que de la rapacité. Mais, au fil du temps, l’affaire s’est compliquée rapportant des actes indicibles, capables de mettre une société en flammes. Or, des frileux, doublés d'inconséquents, ont pris cette affirmation au sérieux. En donnant de la consistance à cette imposture, ils pensaient, aussi, en retirer de mirifiques avantages.

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Une femme GRAVEMENT malade...

Jusqu’au moment où la justice andorrane s’est saisie de l’affaire. Ses représentants ignorants, alors, qu’ils venaient de tomber dans une bouffonnerie sans précédent. Or, il est inadmissible de railler des fonctionnaires de la justice et de leur livrer de fausses rumeurs assorties de faux témoignages. Plus grave ! Dès lors, la justice tentant de réaliser son travail dans une atmosphère nébuleuse retient inutilement, sur son territoire, une femme très gravement malade, qui, de plus, a besoin de soins médicaux réalisables seulement en France où se trouve son dossier.

Rien ne tient dans cette affaire...

Libérée, en décembre dernier, du bracelet électronique qui la privait totalement de liberté, sa situation n’est, aujourd’hui, guère plus enviable. Elle se heurte, à chaque instant, à de nombreux écueils : physiques, financiers, familiaux. Et tout cela pour une sombre histoire qui repose sur... rien ! A tel point que plus de six mois après son ouverture, ce dossier reste totalement vide ou seulement fourni partiellement d'éléments inappropriés ! En effet, nous l’avons déjà dit dans ces colonnes, rien ne tient dans ce dossier.

Véritables escrocs

Mais, tout aussi affligeant, monsieur le Juge Andorran chargé de l’affaire ne s’aperçoit pas de la supercherie montée par un groupe d'escrocs de la pire espèce. A tel point que cet homme s’acharne, maintenant, à remonter la vie de Cathy Techer, pour tenter d’y déloger quelques indices. Interpol a été interrogé. Motif : savoir si cette dernière possède des antécédents judiciaires dans certains pays. Il serait même précisé que l’accusée est en prison ! Or, il n’existe aucun forfait retenu contre sa personne. Pas davantage de traces de ces fameux 21 millions puisqu’ils n’existent pas !

Accumulation inutile de charges

Vraiment, il n’existe aucune rationalité dans cette recherche. En effet, d’une part, l’on exempte Cathy Techer de son bracelet judiciaire, sans lui en préciser le motif. La moindre élégance aurait été de lui signifier le sens de cette bonne mesure. Mais, d’autre part, l’on tente d’accumuler des charges contre elle. Certainement, l’on attend le dépôt de plaintes de quelques plaignants. Ceux qui, précisément, ne peuvent percevoir leur contribution à l’essor de To The Top et qui vont finir par perdre patience.

Comment, dès lors, concevoir qu’une société dont l'activité et les fonds sont paralysés, depuis juillet 2021, puisse honorer ses engagements ? Régler les notes de ses défenseurs ? Tenir ses engagements ? Encore une fois, il n’existe, ici aucune logique.

Isolée, désargentée, sans activité...

Certes, pour son plus grand bonheur Cathy Techer peut circuler librement sur le territoire andorran. Mais, elle doit, aussi, pointer tous les quinze jours, pour certifier sa présence sur les lieux. Sans véhicule, ( confisqué !) et sans possibilité d’ouvrir un compte bancaire ( voir notre article précédent ) elle se retrouve isolée, désargentée, sans activité, avec, chaque jour, les réclamations de ses ex contributeurs pour des sommes dont elle ne peut disposer compte-tenu que tous les comptes ( personnels et professionnels ) sont bloqués. Logique ?

Soins médicaux

Monsieur le juge lui offrant généreusement la possibilité « d’aller skier », selon les dires de sa femme de ménage, bénévole, interrogée le 17 janvier dernier. Cathy Techer s’interroge : " Skier ? Avec ma maladie qui s'aggrave de jour en jour et qui ne peux être traitée qu'en France ? Avec quel argent ? Avec quel véhicule ? Dans quel repos moral lorsque des indélicats colportent des propos odieux, abusifs, pour tenter de m'extorquer des sommes folles ? " Alors, jusqu’à quand cette affaire va-t-elle continuer à s’enliser et priver de revenus des centaines de personnes et une dirigeante qui a hâte de retrouver la France pour y subir des soins médicaux importants; recouvrer son fils et sa famille.

Ambassade de France et Emmanuel Macron

Combien de temps encore faudra-t-il pour obtenir une réaction efficiente de l'ambassade de France et de monsieur Macron co-prince de la principauté andorrane, informés de la teneur de cette affaire ? Ces institutions devraient réagir dans les jours prochains. Sinon, l’on poursuivra cette protestation enflammée par voie de presse. Car cette pression, intolérable, autour d’une entreprise et de sa dirigeante n’a que trop duré ! Aujourd’hui, en Andorre, Il y a deux sortes de victimes. Des contributeurs qui attendent le retour sur leurs contributions et une femme qui vit des minutes psychologiques pleines d’angoisse au regard des fausses accusations qui soulèvent la conscience universelle. Enfin espérons que les railleurs de la justice andorrane, leurs complices, envers ses représentants seront lourdement sanctionnés. La justice doit, enfin, trouver son camp !

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