La France aurait-elle perdu sa légendaire logique ?
La France aurait-elle perdu sa légendaire logique ?
La France aurait-elle perdu sa légendaire logique ? « Peut-être, découvrirons-nous un jour que la même logique est à l’œuvre dans la pensée mythique et dans la pensée scientifique et que l’homme a toujours pensé aussi bien. » (Claude Lévi-Straus)
" Je ne peux souscrire à cette affirmation..."
Cette théorie peut se contester, de nos jours, au regard des incohérences qui se font jour au quotidien dans notre Pays. A chaque jour la logique est bafouée, abandonnée au profit de nouvelles règles dont le raisonnement cartésien semble prendre le pas sur le rationnel et la méthode juste. Pierre Fournier, quant à lui, affirmait : « qu’il n’y avait pas de logique de l’histoire ». Pour ma part, je ne peux souscrire à cette affirmation peut-être par éducation, formation, amour de mon Pays ou par règle du respect de la langue française, qui, durant des siècles, représentait la valeur sûre d’une certaine logique dont le monde entier, saluait l’étude d’une langue bien faite qui s’accommodait parfaitement à la définition de la logique.
Peut-on, désormais, évoquer la logique française...
De nos jours, peut-on valoriser cette logique qui déjoue les grands principes du droit, de la bienséance bannie de notre morale ? Comment en serait-il autrement alors que nos dirigeants multiplient à longueur de temps les principes mêmes de la sacro-sainte logique en agissant, bien souvent, de façon inversement proportionnelle à l’intérêt de notre Nation ? Peut-on, désormais, évoquer la logique française alors qu’une majorité de Français considère que nous marchons sur la tête depuis plusieurs décennies ? Les pouvoirs publics veulent imposer le véhicule électrique alors que l’autonomie n’est pas maitrisée pour l’heure, que sous prétexte d’écologie, ce modèle doit satisfaire aux règles élémentaires de bien-être alors que le recyclage des batteries devient un casse-tête chinois (sans jeux de mots)
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Les salles de shoot de drogues dures fleurissent partout en France.
Par ailleurs, dans le même registre, le gouvernement avait choisi de suivre l’idée saugrenue de fermer les centrales nucléaires avant d’entamer un rétropédalage et un changement de cap. Mais, ce même gouvernement augmente le prix du tabac en affirmant qu’il y a moins de fumeurs. Je ne suis pas concerné, ce qui me donne le privilège de l’observation d’un constat objectif qui veut que les bureaux de tabacs frontaliers n’aient jamais connu pareille affluence. Notons, aussi, que les instances spécialisées souhaitent abolir le trafic de drogue dans notre Pays, mais, en revanche, les salles de shoot de drogues dures fleurissent partout en France. Faut-il davantage insister sur l’inflation sur les produits alimentaires qui ne cesse d’augmenter au profit d’un pouvoir d’achat qui fond comme neige au soleil ?
Nous assistons médusés à ces déguisements dans nos lieux publics...
De surcroît, les O.Q.T.F. ne sont jamais inquiétés, ou si peu. Plus de 50% des crimes et délits sont commis sur notre territoire par des gens indésirables qui se moquent bien de nos lois de la répression et du travail efficace de nos policiers et gendarmes dans la mesure où les arrestations demeurent lettres mortes. En outre, malgré l’interdiction de droit sur le port du burkini, le voile et toutes sortes de vêtements d’un autre monde, nous assistons médusés à ces déguisements dans nos lieux publics, nos rues et des magasins de proximité où l’on vous reçoit en vous saluant en langues arabes.
Les délinquants ne se voient opposer qu’un rappel à la loi dont ils n’ont que faire...
D’autre part, les retraites de nos concitoyens mêmes les moins valorisées sont imputées de la C.S.G. alors que des couples étrangers touchent plus d’aides que nos salariés les plus modestes. A aucun moment, les ministères successifs n’ont fait l’effort de motiver nos jeunes à travailler, plutôt que de les créditer de sommes indécentes qui les écartent de goût du travail. Et, comment accepter que nos forces de l’ordre se fassent tirer comme des lapins alors que les délinquants ne se voient opposer qu’un rappel à la loi dont ils n’ont que faire ?
" Je défendrai coute que coute notre logique..."
Enfin, comment accepter cette dérive de notre dette abyssale de plus de 3300 Md d’euros, qui pourra réguler cette folie ? Nous pourrions évoquer notre situation militaire, médicale, l’un de nos fleurons de notre Pays la culture (réputé inexistante par notre président). La liste serait bien longue pour en dresser un inventaire exhaustif. Allons-nous être obligés de suivre ce dicton bien connu : « La logique mène à tout à condition d’en sortir » ? Pour ma part, je défendrai coute que coute notre logique même si, à ce jour, elle est bafouée.
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