La princesse nue racolait les lycéens
La princesse nue racolait les lycéens
La princesse nue racolait les lycéens. Cette princesse là, nous ne citerons pas son nom. Mais si vous savez lire entre les lignes vous comprendrez aisément de qui il s’agit. Ni très jeune, ni âgée, disons « entre deux âges », notre princesse pourrait en raconter de sacrées anecdotes bien sulfureuses. Des vraies, comme celles que l’on se chuchote entre intimes et sans retenue. Mais celle-ci, elle s'en garde bien. Et pour cause !
Ils avaient dix-huit ans à l’époque, parfois même plus jeunes...
Et justement, l’un des anciens amis de la princesse, l’un de ceux qui la connaît bien, l’un de ceux qui a eu le privilège de « voir » de près, nous en a rapporté les tenants de ces fins d’après-midi, après les cours, qui ont émaillé les moments joyeux de la princesse au début des années deux mille. Nous avons vérifié cette information auprès de quelques comparses « bien à elle ». Ils avaient dix-huit ans à l’époque, parfois même plus jeunes, car la jeune femme n’a pris la précaution de demander les cartes d’identité des lycéens, trop pressée d’avaler telle une mante religieuse ses jeunes proies.
Le plaisir juste le plaisir !
Beaucoup de jeunes gens se sont laissés embarquer dans la voiture luxueuse !
Dès les beaux jours, la coquine officiait nue sous un manteau de vison. Aux abords des lycées de la capitale, elle choisissait ses futurs amants parmi les plus affirmés, dans leur apparence, dans leur virilité. Le reste était facile entrouvrant son vêtement pour laisser apparaître son corps dénué. Beaucoup de jeunes gens se sont laissés embarquer dans la voiture luxueuse garée non loin de là. Certains ont même laissé leur pucelage dans un studio loué à proximité sans avoir à bourse délier. En effet, la princesse ne se déshonorait pas à faire payer ses prestations. Le plaisir juste le plaisir !
Il ne s’agissait pas de prostitution
Bientôt, le surnom de la belle créature circula de bouche en bouche parvenant jusqu’aux oreilles de nombreux proviseurs peu satisfaits de la présence de cette dévergondée. Dès lors, ils firent surveiller les abords de leurs établissements. Si bien qu’un jour, notre princesse, interpellée par la police, dut s’expliquer sur son comportement. Bien entendu, il ne s’agissait pas de prostitution, mais simplement de donner du plaisir à de jeunes éphèbes.
La princesse n’eut pas à affronter les Tribunaux
Mais le plus âpre pour notre princesse fut le moment de décliner son identité aux forces de l’ordre. Après vérification, l’on aperçut que la dame appartenait à haute bourgeoisie. Celle qui s’ennuyait et passait son temps à avaler des lycéens fut sommée d’arrêter sur le champ, au risque de se voir infliger une lourde sanction pour racolage sur la voie publique et détournements de mineurs. Car parmi ses victimes, certains n’avaient que seize ans. Heureusement, grâce à la réputation de sa famille et son nom, la princesse n’eut pas à affronter les Tribunaux et aucune charge ne fut retenue contre elle.
Ses nuits enflammées avec des jeunes gens
L’histoire raconte qu’après cette aventure désastreuse, l’effrontée, se rangea - un peu - et poursuivit discrètement son activité dans d’autres villes, changeant régulièrement de lieux scolaires pour ne pas être repérée. Aujourd’hui, semblant calmée, elle récupère de ses nuits enflammées avec des jeunes gens. Si l’on ne peut pas reprocher à une femme de préférer les lionceaux aux lions, recommandons à celles qui préfèrent la fraîcheur d’oeuvrer dans des secteurs où elles ne risquent pas de troubler l’ordre public. Il y a des endroits spécialisés où de jeunes hommes peuvent découvrir les charmes d’une femme mature….