L’augmentation du prix de la nourriture pour animaux coûte trop cher

Publié le samedi 8 avril 2023Rédigé par Cédric Fichet
L’augmentation du prix de la nourriture pour animaux coûte trop cher
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L’augmentation du prix de la nourriture pour animaux coûte trop cher. Le risque : de nombreux abandons de chiens et de chats peut-être en prévision.

Les s.p.a. sont inquiètes de cette nouvelle

Entre les abandons honteux chaque année au moment des vacances, la maltraitance, les refuges débordent. Ils risquent d ‘être à saturation très vite si les maîtres des chiens et des chats économiquement faibles ne peuvent pluches nourrir. Les s.p.a. sont inquiétes de cette nouvelle. LIRE AUSSI : infopremiere.fr legislative-partielle-ariege-lunion-de-la-gauche-mise-a-nupes

Constat inquiétant

Cette terrible inflation, nos amies les bêtes la subissent comme nous. Déjà, de nombreuses personnes s’inquiètent et s‘interrogent : " Vais-je avoir assez d’argent pour subvenir aux besoins de mon animal ? " D’autant qu’il faut aussi prévoir les frais vétérinaires. Voilà le constant inquiétant que font les amis des animaux.

Animaux Première vous mets en garde si vous devez adopter un compagnon

En effet, accueillir un animal coûte toujours plus d’argent chaque année. L’entretien et la nourriture de certaines races de chien peut entraîner un déboursement de plus de mille euros. Par exemple, un bouledogue, un berger allemand ou un labrador entre cinq cents et mille Euros. C’est pourquoi Animaux Première vous mets en garde si vous devez adopter un compagnon dans les périodes prochaines avec l’envol des prix. Or, nous remarquons une augmentation des prix des denrées alimentaires de… 86 %. L’inflation généralisée dans les grandes surfaces en mars dernier atteignait 5,6 % en moyenne. Ces complications émanent de la crise énergétique et la grippe aviaire.

Et, ce n’est pas tout, hélas

Car, en plus de cette inflation s’additionne le coût de production général. Il faut savoir que les entreprises productrices d’aliments pour nos amis à quatre pattes (croquettes ou pâtée), nécessitent une importante consommation d’énergie. Ces produits doivent, par ailleurs, subir un chauffage pour les homogénéiser. Ainsi, ces entreprises répercutent la hausse des prix de l’électricité sur le prix des produits vendus auxquels il faut ajouter les pertes de la volaille ( grippe aviaire). Mais, il y a quand même une bonne nouvelle derrière cette tragédie puisque 65 % des familles mettent en avant le bonheur apporté par leur animal de compagnie. Alors, espérons, enfin, que cette augmentation ne verra pas trop monter le chiffre désastreux des abandons. VIDEO :https://www.youtube.com/watch?v=hrKrFXmaVm0
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