Le drame de Lola réveille les vieux fantômes de l'immigration incontrôlée
Le drame de Lola réveille les vieux fantômes de l'immigration incontrôlée. Ce crime odieux est digne d’un film d’épouvante. Mais, il y a, surtout, cette réalité plus troublante... le profil perturbé de la supposée tortionnaire. Le cas de Dahbia B. dépourvue de toutes ressources au moment des faits, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, rouvre invariablement le dossier de l’immigration incontrôlée. Une affaire qui fait rejaillir insécurité, violence, justice et manque d’autorité de la part de l’Etat.
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Revoir notre politique d'intégration
Les temps sont confus en France et dans le monde. D'innombrables questions interpellent nos compatriotes. Parmi elles, la discipline. Où se situe l’autorité de l’Etat face au phénomène d'une immigration incontrôlée ? Visiblement, il existe une carence à ce niveau jusqu'à créer une dislocation dans le pays. Il est temps de remettre à plat notre politique d’intégration, car, aujourd’hui, l'ensemble des procédures d’entrées sur le territoire sont détournées.
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Simplifier les modalités de retour des migrants
Il conviendrait de transmettre les fichiers de tous les clandestins, avec leurs relevés d’empreintes digitales. Ce sytème permettraient de restreindre le nombre de personnes dangereuses ou connues des services. D'autre part, il faut simplifier les modalités de retour des migrants dans leur pays avec la révision, aujourd'hui insuffisante, dans la directive européenne " Retour ". En effet, les États devraient être en droit de renvoyer, sans délai, les clandestins dans leur pays d’origine.
France terre d'accueil, oui, mais...
L'Union européenne ouverte à tous les vents appelle inévitablement le terroriste Alors, disons : " oui " à une France terre d’accueil pour les personnes persécutées, mais refusons une politique totalement détournée. Rapidement, la loi française doit poser pour principe l'obligation pour les demandeurs d’asile de déposer leur demande auprès des consulats ou des ambassades avant leurs rentrées sur notre territoire.
Assignés à résidence à proximité des frontières
Alors, bien sûr, l'on va m'objecter le cas des personnes persécutées dans leur pays. Mais, la plupart des demandeurs d’asile transitent par des pays tiers avant d’arriver chez nous. Ceux-là, ne courent aucun risque ! Toutefois, arrivés en France, leur demande devrait être examinée à la frontière et assignés à résidence à leur proximité. Cependant, il serait injuste de jeter l'opprobre sur l'ensemble des immigrés. Un grand nombre parfaitement intégré a contribué à la richesse de notre Pays.
Philosophie de progrès
L’extrême gauche n’est pas exsangue de tous reproches dans ce domaine, les débordements de leur idéologie ont manifestement assombri la vision de la Société française. Enfin, que dire de la Justice, qui, par manque de moyens, et, peut-être, par une philosophie dite de progrès ( ce terme fait sourire ) ne sanctionne pas à sa juste valeur des délits inacceptables mais qui en revanche peut se révéler redoutable pour des délits mineurs !