Le zoo de Rome offre des sorbets aux animaux pour les rafraîchir...
Le zoo de Rome offre des sorbets aux animaux
Le zoo de Rome offre des sorbets aux animaux pour les rafraîchir... Mais, ces lieux ne sont pas en odeur de sainteté chez les amis des animaux. Ces univers concentrationnaires ne respectent pas le biotope naturel de leurs pensionnaires. Alors, pour compenser l’erreur de détenir des animaux en captivité, tout au long de leurs vies, les responsables de ces lieux tentent de compenser cette carence avec des astuces destinées à leur apporter un peu de confort. Ainsi, à Rome, le zoo leur offre des glaces à la viande, aux poissons, aux fruits ou encore aux céréales.
Top Exclusif ! vous en dit plus !
Capturés, transportés et encagés
Si l’idée paraît généreuse, nul doute qu’elle séduira qu’à moitié les vrais amis des bêtes. Ceux, qui, précisément, voient dans les zoos, un moyen de détenir un animal loin de son lieu de vie naturel. Alors, bien sûr, il est allégué que ceux-là sont nés en captivité et qu’ils sont habitués à la présence humaine. C’est un fait ! Mais, il faut d’abord, songer à leurs aînés capturés, transportés et encagés dans des conditions inhumaines, il y a plusieurs décennies.
www.infopremiere.frallocution-legislatives-emmanuel-macron-a-dit-aux-francais
Négoce sans complexe
Car, à l’origine, le plus souvent, ils ont été les victimes de trafiquants en tous genres, des hommes sans vergogne avec un coffre-fort à la place du cœur. Ils représentaient de la chair à négocier. Aucun regard bienveillant de leur part, aucune considération pour ces êtres vivants dont ils assuraient le négoce sans aucun complexe. Ces prisonniers, malheureux derrière les barreaux de leurs cages, souvent déprimés, ont donné naissance aux lignées actuelles.
Réadaptation progressive souhaitée
Aujourd'hui encore, ce sont les animaleries qui ont pris le relais de tous ces trafics. Derrière ces chatons, ces chiots, qui apitoient le visiteur, se trament l’un des plus odieux scandale d’êtres vivants, de même importance que le marchandage des êtres humains. Alors, si des zoos offrent généreusement des sorbets à leurs hôtes pour les rafraîchir, les défenseurs de la cause animale se satisferaient mieux de leur réadaptation progressive pour qu’ils terminent leurs jours là où leurs origines les attends.
Enfin, à ceux qui s’émerveillent devant un lion ou un fauve, admirent un pachyderme ou des perroquets de toutes variétés, disons-leur que les zoos ne sont que des prisons aménagées et non des lieux conformes à leur bien-être !
LES ZOOS ONT-ILS ENCORE LEUR PLACE ?