Le zoophile torturait sa chatte jusqu'à la mort
Il torturait sa chatte sexuellement
Il y a des individus qui devraient finir leurs jours dans un hôpital psychiatre. C’est le cas de ce pauvre Lillois dont la chatte est morte des suites de sévices sexuels. Honte à lui !
Il affirme « n’y être finalement pour rien »
On le dit " auteur présumé " pour des sévices sexuels sur sa chatte, laquelle est décédée de suites de ce mauvais traitement. Mais l’homme a nié toute forme de responsabilité au Tribunal, le 7 septembre dernier. Sa défense n'a pas manqué d'agacer les associations parties civiles dans l’affaire. Affirmant « n’y être finalement pour rien », ses arguments faciles ont tourné autour d’une contrainte de signature d’aveux. Devant la Cour, il a même prétendu avoir retrouvé sa chatte dans un piteux état, suite à une absence de deux jours. « Elle est revenue dans le jardin au bout de 48h. »
La petite bête souffrait d’une déchirure utérine.
Or, selon les plaignants, l’affaire ne se serait pas déroulée ainsi. En effet, le 11 août 2022, l’animal, prénommé "Permafrost", est amené d’urgence à la clinique vétérinaire Nordvet de La Madeleine par son propriétaire. Là, le vétérinaire la prise en charge. Seulement, son rapport est accablant. La petite bête souffrait d’une déchirure utérine. Plus encore, une dilatation vulvaire et d’un prolapsus vaginal la faisait horriblement souffrir. Elle ne survit pas à ses blessures. Le médecin constata alors qu’elles « pouvaient être compatibles avec une pénétration vaginale » d’origine humaine. Elles ne sont assurément pas « commises par un congénère de la même espèce ».
Les entrailles étaient sortis sur une longueur d’environ 10 cm.
Ainsi, devant le Tribunal, l’accusé a rejeté toute forme de responsabilité. L’outrecuidance le mèné à se montrer émotif à l’évocation du décès de sa chatte. Il aurait « tout fait pour sauver l’animal ». Mais ces déclarations honteuses n’ont point convaincue la présidente du Tribunal, ni de la procureur. Pas davantage les avocats des associations de protection animale. « Vous avez une imagination assez fertile ».Pourtant, ces faits inadmissibles ne font aucun doute sur la culpabilité de l’homme. Un certain « Monsieur Jiladi », à même indiqué que les entrailles du chat étaient sortis sur une longueur d’environ dix cm.
Hôpital psychiatrique
Toutefois, selon l’interlocuteur, son frère se serait rendu coupable d’actes de zoophilie sur Permafrost, à plusieurs reprises. Il prétent n’être pas au courant de cet appel, et qu’il n’est pas le Monsieur Jiladi en question. En outre, dans ce genre de dossier, le prévenu nie tout problème relationnel. Pourtant, le quinquagénaire est déjà passé par l’hôpital psychiatrique sous contrainte. Il souffre d’une altération de ses facultés mentales, selon le diagnostic d’un psychiatre. Alors qu’il y retourne et qu'il y reste jusqu'à la fin de ses jours hors de toute présence animale. La punition est justement méritée.