Les surprenantes confidences de Nicolas Lerner, patron de la D.G.S.I.

Les surprenantes confidences de Nicolas Lerner, patron de la D.G.S.I. : « La menace terroriste se maintient à un niveau élevé » vient de déclarer le patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure... « Et, elle est de plus en plus complexe à traiter en France... »

Il n'y a pas que des James Bond à la D.G.S.I.

Il fut un temps où les services du renseignement français communiquaient peu. A tel point qu’on les disait : « secrets ». Aujourd’hui, la D.G.S.I. s’ouvre et se confie. Pour la première fois, cet organisme va intervenir sur Internet. Ce choix est assumé par Nicolas Lerner, patron de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure pour mieux communiquer. Sur quoi ? Sur les « missions au quotidien » de son service, qui ne compte pas « que des James Bond ».

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Lorsque Nicolas Lerner, le directeur se confie...

Ainsi, Nicolas Lermer, s’est confié, il y a quelques jours, sur ces difficultés à limiter le risque d’attentat terroriste. Car, ce fléau qui nous concerne tous continue de planer grandement sur le territoire français. Ainsi, la tâche de surveillance se voit de plus en plus pénible car la menace prend des formes variées et se présente sous des aspects divers. En effet, depuis plus de un an, pas moins de cinq projets d’attentats ont été déjoués, dans l’Hexagone, mais sept autres ont, malheureusement, atteint leur cible.

Les loups solitaires se multiplient !

Ce qui inquiète nos spécialistes se sont les interventions des loups solitaires qui se multiplient la multiplication, en passant à l’action sans, pour autant, être rattachés à une entreprise terroriste.car selon le patron de la D.G.S.I. : « À côté de la menace que je vais appeler “ traditionnelle , il est apparu ces dernières années des individus isolés, autonomes, sans lien avec ces organisations terroristes. Ils ne sont pas inscrits au sein de cellules, mais décident, sous l'effet de la propagande à laquelle ils sont réceptifs, de passer à l'acte »... Enfin, c’est  cette exploration d’individus isolés qui monopolise, aujourd’hui, une grande partie des moyens des services de renseignements français. C’est, pourquoi, d’ici à 2024, ils vont recruter mille deux-cents nouveaux agents.

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