Mathilde, 80 ans, vaccinée contre le covid, malgré son refus !

Mathilde, 80 ans, vaccinée contre le covid, malgré son refus ! Mathilde ne décolère pas ! Vendredi dernier, elle a reçu sa première injection de vaccin. Bien malgré elle. Comme l'un de ses petits-fils, âgé de dix-huit ans, elle refuse. Mais, son fils l’a obligé à y recourir en la conduisant jusqu’au centre le plus proche de chez elle. C’était sans compter sur l’avis de la récalcitrante...

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Bon geste ou abus ?

Certains verront dans ce geste, le bon sens, la certitude d’une protection de valeur en direction d’une grand-mère aimée. D’autres, considéreront ce geste comme un abus. Là n’est pas la question. C’est une discussion corrosive qui anime les Français en ce moment. Car, tous sont partagés entre la propagande pro vaccinale diffusée à grands renforts de publicités et les nombreuses interrogations qu'elle suscite. Celles que posent certains scientifiques prévenant des éventuels risques que pourraient créer, à moyen ou long terme, ces injections.

Contrariée

Quoi qu’il en soit, Mathilde, depuis cette opération se sent très fatiguée. Elle ressent une lassitude générale et espère bien que cela ne sera que passager. Elle est, aussi et surtout, meurtrie, contrariée par le fait d'être vaccinée contre son gré. « Je n’ai jamais été piquée de ma vie contre rien. Je ne suis jamais malade. Ma dernière grippe remonte à... quarante ans. De plus, je ne sors pratiquement jamais de chez moi. Il n’y avait aucune raison de me faire ce tour à l’envers. J’en veux à mes enfants. Maintenant, j’ai peur de tomber malade avec leurs trucs de M...»

" Laissez-moi tranquille... "

Depuis, qu’elle a apprit qu’il y aurait une seconde injection et même une troisième, Mathilde se renfrogne. Son visage s’est fermé et elle a décidé de ne plus parler à ses enfants. Eux qui ont cru bien faire en voulant la protéger. « Ce n’est pas parce qu’ils l’on fait que, moi aussi, je devais être vaccinée. Il n’y aura pas d’autre vaccin. J’ai dit non et se sera non ! » Déterminée, la vieille dame tient tête, aussi, à son médecin : « Foutez le camp avec vos aiguilles et vos poisons. Laissez-moi tranquille.. » Alors, le professionnel à demandé qu’on la laisse tranquille espérant que d’ici à quelques semaines sa patiente reviendra sur de meilleures intentions...

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Comme son petit-fils...

Alexis, vingt ans, son dernier petit-fils, soutient la décision de sa grand-mère. Lui aussi, refuse ce vaccin. Lorsqu'on l’interroge il se dit : " ...opposé à toutes formes de vaccinations préférant avoir recours à d'autres systèmes dits  " naturels "  qui renforcent le système immunitaire."  Le jeune homme avait pourtant prévenu son père : " ne vaccinez pas mamie, vous allez la faire mourir d'irritation. Et, en plus, à son âge, c'est risqué de lui administrer des substances que son corps n'a pas l'habitude de recevoir..."

Gilbert regrette

Mathilde reviendra-t-elle sur sa décision ? « Cela m’étonnerait beaucoup ! Ma mère est très têtue. Elle a toujours eu un sacré caractère. Je la connais, elle ne cédera pas. Nous avons dû y mette beaucoup de patience et de psychologie, pire qu’à un enfant. Mais, je crois, maintenant, que c’était une erreur. En voulant la protéger nous avons fait une grosse bêtise. Elle a fermé la communication et refuse même de nous recevoir. L’effet psychologique du vaccin et la contrariété risquent être pire que ses effets secondaires..." Alors, aujourd'hui, son fils Gilbert, regrette !

Toute sa famille vaccinée

Ce dilemme est une affaire de conscience. D'un côté, il y a des enfants qui se sentent responsables de la santé de leur maman. De l'autre, une dame qui a passée toute sa vie sans recevoir le moindre vaccin. Elle ne présente pratiquement aucun risque de contamination du fait qu'elle ne sors pas de sa maison. Quant à ses enfants et petits enfants, vaccinés, certes, eux aussi, avec le soucis de contracter le virus et le transmettre.. Avec la moindre virulence, nous dit-on !

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