Michel Barnier trop acide envers Gabriel Attal
Michel Barnier trop acide envers Gabriel Attal
Michel Barnier trop acide envers Gabriel Attal. L’on avait cru le déceler lors de la passion des pouvoirs entre Michel Barnier et Gabriel Attal. Il semblerait, en effet, que l’ambiance ne relève pas d’une passion débordante. Le Premier ministre enchaîne les propos cyniques envers son prédécesseur. Parfois même avec une pointe d’injustice…. Mais, trop, c'est trop !
Des paroles qui choquent les membres de la macronie
Gabriel Attal doit souvent ravaler sa morgue lorsque Michel Barbier ironise que sa personnalité et son bilan. Mais peut-on, véritablement, parler de « bilan » lorsque un Premier ministre à vu son mandat écourté par une situation si particulière ? Le président de Renaissance subit donc les banderilles acérées tant auprès des media que devant l’Assemblée nationale de l’ancien ministre des affaires étrangères. Les reproches portent notamment sur les dossiers légués par le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la V° République. Michel Barnier vient en permanence sur le déficit public et ses objectifs pour 2025. Des paroles qui choquent les membres de la macronie et beaucoup de Français. Pas essentiellement les supporters de l’ancien Premier ministre. Pourtant, l’objectivité montre que des efforts avaient été mis en place pour rétablir les comptes. Probablement que cette tempête à débuté le jour où Gabriel Attal à remis les clés à son successeur; un successeur ressentant une vive humiliation.
La dette, publique, bien amorcée, ne pouvait lui être amputée
L'on ignore encore si le bilan de Michel Barnier, dans un semestre, sera positif. Nous l'espérons. Pour la France et les Français ! Mais, si par cas, ce dernier s'alourdit, alors Gabriel Attal sera en mesure de lui rappeler que lorsqu'il à pris ses fonctions, le 9 janvier dernier, la dette, publique, bien amorcée, ne pouvait lui être amputée. Par ailleurs, sans vouloir se montrer un défenseur systématique, le jeune homme aura bénéficié de trop peu de temps, entre le déroulement des élections et l'inertie gouvernementale qui s'en est suivie, pour montrer son efficacité. Alors monsieur Barnier, un peu d'indulgence, s'il vous plaît, sinon, à votre tour, vous subirez les banderilles de ceux qui attendent des résultats avec tant d'impatience.