Un Ministère de la Condition Animale, enfin l’on s‘y intéresse !
D'où l'on reparle d'un ministère de la condition animale
Un Ministère de la Condition Animale, enfin l’on s‘y intéresse ! Les Universalistes, (anciennement le M.H.A.N. Mouvement Hommes Animaux Nature) et le Mouvement pour les Animaux, ces deux partis politiques oeuvrent en ce sens. Depuis de nombreuses années, ces organisations se battent pour faire connaître leur projet. Sans succès ! Il aura fallu que Louis Schweitzer, ancien patron de Renault suggère cette idée pour qu’elle resurgisse ! Enfin !
Ce n’est pas avec le soutien des proches de Macron que la condition animale risque d’évoluer...
L’idée n’est donc pas récente mais toujours étouffée par les media trop préoccupés pour ne s'intéresser qu'aux acteurs de la politique absorbés par les questions du pouvoir d’achat et la sécurité des Français - ce qui n'est pas insensé - à l'instar de nos gouvernements successifs depuis de nombreuses années. Ce n’est, hélas, pas avec le soutien des proches d’Emmanuel Macron que la condition animale risque d’évoluer. L’exemple des chasses présidentielles et son soutien indéfectible aux chasseurs, nous le prouvent. Il est vrai que les lobbies ne sont pas si éloignés… Sources de soutiens et de financements. Alors, pourquoi aller « chasser » plus loin ?
Un Ministère de la Condition Animale remettrait de l'ordre au sein des élevages, abattoirs, laboratoires de recherches, arènes...
La question de la protection des animaux au cœur des préoccupations sociétales actuelles, certes, mais, le temps est venu où nos élus doivent se réveiller ! Ainsi, Louis Schweitzer, ancien patron de Renault et actuel président de la Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences (LFDA), a suggéré la création de ce modèle de Ministère. Bravo ! Mais, hélas, déjà, cette proposition suscite des débats passionnés. Et oui, les secteurs agro-alimentaires, de la recherche, des spectacles, sont directement concernés. Vraisemblablement, tout ce beau monde d'hypocrites et de sans coeur, tentera de s'opposer à ce projet dont la réalisation est indispensable. Il est donc temps de se pencher sur cette question : créer un ministère dédié à la condition animale remettrait en peu d’ordre au sein des élevages, des abattoirs, des laboratoires de recherches, des arènes et des chenils de la honte.
A quoi pourrait travailier cette institution ?