Pourquoi la maltraitance animale ? De trop nombreux sévices envers nos amis à quatre ou à deux pattes. Cette maltraitance quotidienne pourrait pourtant être endigué. Il existe de nombreux moyens, il suffirait de les mettre en pratique.
Jamais condamné ou sanctionné
Il avait cassé volontairement les pattes de son bull-terrier. Ce pauvre type, peut-être ne sera jamais condamné ou sanctionné par une peine sans valeur d’exemple. Malgré les actions remarquables de juristes spécialisés dans le secteur, les maltraitances envers nos amis les bêtes restent inquiétantes.
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L’on ne s’amuse pas avec des êtres vivants
Bref, il conviendrait donc de forcer les services à enregistrer davantage de plaintes, saisir les parquets, pour obtenir des condamnations exemplaires. Au niveau des cas particuliers, ces dernières devraient être assorties de peines de prison plus fermes après les faits. Histoire de montrer aux tourmenteurs que l’on ne s’amuse pas impunément avec des êtres vivants, sensibles et sans défense.
Les cas des abattoirs et des laboratoires de recherche
En 2022, pas moins de douze mille infractions visant les animaux ont été enregistrées au sein des services de la police et de la gendarmerie. Soit 30% de hausse par rapport à ces violences physiques, mais aussi aux abandons. Mais, au-delà des phénomènes recurrents ( hélas ) de chiens, de chats, de rongeurs, etc, placés sous la domination honteuse de l’homme, il existe aussi les cas très particuliers de abattoirs et des laboratoires de recherche.
Une grande première à partager avec vous
Pour la bonne nouvelle, le 4 mai dernier, le tribunal administratif de Montpellier à fait condamner l'Etat a verser quatre mille cinq cents € à L.214. En effet, de sérieux manquements au sein de l‘abattoir de Rodez dans sa manière de tuer les agneaux à fait réagir cette association. Une grande première que nous sommes heureux de partager avec vous, cette condamnation de l'Etat face à son inaction au regard de la maltraitance animale.
Sans l’intervention des services vétérinaires
Une vidéo diffusée en 2020, avait mis en alerte les amis des animaux. L’on y voyait des agneaux égorgés dans de mauvaises conditions sans l’intervention des services vétérinaires. Pourquoi ces fonctionnaires ne réagissent-ils pas devant ces actes de cruauté gratuits ? De plus, où est la logique devant l’évolution de la loi en faveur des animaux ? Nous sommes loin de l’application de la loi de 2015 reconnaissant nos amis : « êtres vivants doués de sensibilité ».
Des meubles « sensibles »
Or, l’article précise … « sous réserve des lois qui le protège, il reste soumis au droit des biens. » Honteux. Car, en clair, si l’on interprète ce texte, l’on constate immédiatement que l’animal reste un meuble « sensible ». Toutefois, cette prise de position permis de mettre à jour l'article 521-1 du code pénal. A quand un ministère de la condition animale madame Borne, vous qui vous donnez cent jours pour redonner confiance aux Français ?
VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=FahXWGJHbQM