Sièges : 2° tour les prévisions exclusives d’Infopremiere
Sièges 2° tour nos prévisions exclusives !
Sièges 2° tour : Infopremiere, à travers l’étude exhaustive de notre collaborateur Aloïs Lang-Rousseau, s’est projeté sur la plausible répartition des sièges à l’Assemblée nationale, par coalitions et partis à l’occasion des législatives du 19 juin. Nous vous livrons, en exclusivité, cette analyse singulière qui prévoit une majorité relative à Ensemble. Rendez-vous est pris dimanche soir dès 20 h !
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Répartitions par coalitions
ENSEMBLE : 276 sièges NUPES : 172 sièges, L.R. : 77 sièges, R.N : 33 DVG : 6 , REG : 5 DVC : 5 UPF : 1 DVD : 1 DIV : 1 ECOMAJ :
Répartitions par parti
LFI : 88 COM 15 PS : 31 EELV : 21 G.S : 4 GE : 3 ND : 2 PEYI-A : 2 PPM : 1 TAVINI : 1 PLR : 2 LR : 70 UDI : 4 CENT : 1 DVD : 2 AD : 1 RENAISSANCE : 168 MODEM : 50 AGIR ; 8 TdP 3 HORIZONS : 33infopremiere.fr forces-politiques-qui-des-deux-sortira-de-cette-election
EC : 1 DVC : 5 ECO : 1 PRAD : 7 TAPURA : 2 CE : 1 GNC : 1 R.N : 31 app RN : 2 PRG : 1 PS diss : 5 FEMU : 2 PNC : 1 REG : 2 DLF : 1 LP : 0 AC : 0 DIV : 1Que conclut cette analyse ?
Sans surprise, selon cette étude, le parti d’Emmanuel Macron l'emporterait sans toutefois n'obtenir qu’une majorité relative. Ce qui laisserait présager les difficultés que rencontrerait le président pour gouverner dans les mois à venir. Mais, pour l'heure, d'autres points d'ombre restent en suspend. En effet, la victoire d'Ensemble ou de la Nupes est conditionnée à une mobilisation d'importance. Or, une abstention massive est toujours plausible malgré cette union de la gauche.
Les autres questions.
Alors, bien sûr, si nous nous penchons sur le panorama offert par les sondages et par notre analyse, nous observons cette émergence d'une majorité relative pour " Ensemble ", mouvement de la majorité présidentielle, regroupant LaREM, Modem, Agir et Horizon. Mais ceci ne constitue qu'un pronostic. Le taux de la participation détient la réponse finale. D'autant qu'une question intermédiaire vient s'inviter dans le débat. En effet, en cas de défaite, Emmanuel Macron pourrait-il refuser de nommer le représentant de la Nupes au poste de Premier ministre ? Le droit constitutionnel le prévoit ! Ce qui laisse présager des complications futures dans l’organisation du gouvernement. Cependant, la sérénité affichée du président laisse présager qu'il a déjà échafaudé tous les scénarios et qu'il détient, déjà, le nom de son bras droit dans toutes les hypothèses...
D'autres découpages sont envisageables.
Premièrement : nommer Jean-Luc Mélenchon, deuxièmement dissoudre l’Assemblée nationale dans quelques mois. Histoire de laisser le leader de la France Insoumise effondrer sa réputation auprès des Français. Enfin, Il pourrait, peut-être, nommer un Premier ministre issu du P.S. et accepter des ministères régaliens afin de pulvériser l’alliance de la gauche. Un exercice aux allures mitterrandiennes dans lequel il est passé maître !