To The Top : Le prétendu lanceur d’alerte n’était qu’un prédateur !

Publié le mardi 28 décembre 2021
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To The Top : Le prétendu Lanceur d’alerte n’était qu’un prédateur ! Dans un article précédent, nous vous avions exposé que le prétendu « lanceur d’alerte » n’était en fait qu’un prédateur d’entreprise. Notre enquête nous avait permis de mettre en évidence que la prédation était en réalité le fait d’un duo. Nos enquêteurs avaient nommé : Xavier Rossey et Vanessa Pardini ! Grands Intrigants, les fossoyeurs d’entreprise n’ont toujours pas cessé leurs méfaits. Info Premiere a mené l’enquête !

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Captation de clientèle

Nous avions laissé notre duo de prédateurs alors qu’ils étaient parvenus, unissant leurs efforts aux trousses de leur proie, à faire priver de liberté Cathy Techer et à bloquer l’exploitation de sa société To The Top. Nous les retrouvons aujourd’hui pour vous expliquer comment ils envisagent de capter sa clientèle et comment ils escomptent financer leur petite entreprise de malfaisance ! La captation de la clientèle par le vol et détournement de fichiers, selon des moyens détournés, étant établi que le duo s’est fait remettre les données informatiques correspondants aux fichiers de la société To The Top et de toute sa clientèle.

Fossoyeur d'entreprise

Muni du sésame, la cheville ouvrière du duo, « Monsieur Xavier Rossey » s’est livré à la pire des infamies que l’on est en droit de craindre d’un prédateur d’entreprise.  A savoir : la captation de la clientèle de l’entreprise visée. Par des mails répétés et sous couvert de leur proposer ses services, le fossoyeur d’entreprise n’a de cesse de relancer chacun des membres de la clientèle, les incitant à le rejoindre dans sa prétendue croisade contre Catherine Techer.

Détournement de fichiers

Mais, ce que le prétendu lanceur d’alerte omet de préciser aux destinataires de ses courriels, c’est qu’il est un concurrent direct de la société To The Top. En effet, il était lui-même sous contrat avec la société MWR LIFE avant d’acheter des « tokens MWR LIFE » directement auprès de la société To The Top (voir notre article précédent). Sur ce point, l’entente formée avec Vanessa Pardini a consisté à détourner les fichiers de la société To The Top, à en extraire les coordonnées téléphoniques et mails des clients, aux fins d’entrer en contact avec eux pour les inciter à déposer plainte en prétextant leur intérêt.

Article 226-21 du Code Pénal

C’est ainsi que Xavier Rossey a pris contact avec l’ensemble des clients sous prétexte de les inviter à s’associer à son entreprise dénonciatrice. il incite, en fait, les clients à ne plus accorder leur confiance à  Catherine Techer.  Non seulement, des plaintes sont en cours, mais, il s'expose à de lourdes sanctions. Le prétendu « lanceur d’alerte » ou le vrai « prédateur d’entreprise » (ndlr : les deux expressions sont admissibles concernant l’individu) avance encore caché vis-à-vis de la clientèle de la société To The Top dont un grand nombre a décidé de porter plainte aux visas des articles suivants :

Article 226-21 du Code pénal, « le fait, par toute personne détentrice de données à caractère personnel à l’occasion de leur enregistrement, de leur classement, de leur transmission ou de toute autre forme de traitement, de détourner ces informations de leur finalité... est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 300 000 € d’amende ».

Article 323-1 du Code pénal « le fait d'accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d'emprisonnement et de 60 000 € d'amende ».

Rien n’arrête ce duo infernal !

Dans ce registre, nos deux compères vont encore se distinguer en mettant a exécution une technique visant à obtenir le financement de l’activité qu’ils ont capté. Car, rien ne sert de capter une entreprise, si l’on n’a pas les moyens d’exploiter l’activité détournée. Ce vieux principe bien connu des prédateurs d'entreprises de tous pays, est aussi connu de notre duo. Ils vont  s'en servir !

Financement de l’activité en captation par extorsion de fonds et chantage...

Opérant séparément mais selon le même mode opératoire, notre duo de prédateurs s’est inquiété de savoir comment il pourrait bien obtenir le financement de leur « entreprise ». Lorsque l’on pratique plus le code pénal que le code civil, il n’est jamais aisé de solliciter les banques traditionnelles. Il est à craindre qu’en sollicitant un prêt pour financer une entreprise de prédation, le crédit bancaire ne soit pas facilement octroyé

Notre duo le sait bien !

Ils ne sont pas des amateurs. Ce sont des professionnels de l’arnaque. Ils savent bien qu’ils ne peuvent se tourner vers le crédit classique. Pour cela, le « manuel du parfait arnaqueur », met à leur disposition d’autres moyens et surtout d’autres méthodes : l’extorsion de fonds et le chantage. A chacun sa méthode. Plus délicate et surtout bien plus subtile, Xavier Rossey et Vanessa Pardini préfèrent l’extorsion de fonds. Il est vrai qu’employée en douceur, cette méthode a rendu de sérieux services à bon nombre de truands endimanchés. C’est donc par l’extorsion de fonds que Vanessa Pardini va directement s’en prendre à Cathy Techer. 

Comment  ?

    • Pour mieux comprendre l’embrouille imaginée par Vanessa Pardini, il faut remonter quelques jours avant ses agissements déloyaux. Et, aussi, à ses dénonciations fallacieuses par lesquelles elle était parvenue à faire priver de liberté Cathy Techer. Ou, encore, à bloquer l’exploitation de sa société To The Top. Alors, que sa victime était enfermée chez elle, convaincue que sa proie ne pouvait lui échapper, qu’a fait, alors Vanessa Pardini ? Faisant pression sur Cathy Techer et à grand renfort de menaces, elles ont conclu un accord.
Parvenant à abuser la vigilance de Cathy Techer, un protocole transactionnel est signé. Elle percevra une somme de 15.000€ réglée en plusieurs fois, en cryptomonnaie. Ce qui sera exécuté dès le 16 septembre 2021 (ndlr : nous disposons à la rédaction des preuves de paiement). 

Mais, alors où est " l'arnaque ? "

Ne respectant pas l'accord pris, Vanessa Pardini n’attendra pas dix jours pour se rendre au commissariat le plus proche. Là, elle affirmera le fait de n’avoir pas perçu paiement des 15.000€. Sa plainte sera déposée dès le 5 octobre 2021. En résumé, Vanessa Pardini obtiendra la signature d'une convention qu'elle trahira dix jours plus tard en dénonçant des faits imaginaires. En outre, quelques jours plus tard, elle s’attache les services d’un avocat à qui elle demande assistance pour renforcer son mensonge.

L'avocat exige le paiement immédiat.

Bien sûr, lors de son exposé de la situation, Vanessa Pardini omettra de livrer la vérité à son défenseur qu’elle a déjà perçu les 15.000€ en monnaie électronique. Pourquoi donc s’encombrer de détails inutiles lorsque l’on peut aller au plus simple ? Son défenseur ne se fera pas prier. Il exigera, avec virulence, le paiement immédiat de la somme.

Le Brave homme !

Ensuite, l’avocat de Cathy Techer lui répondra : « Mon cher Maître, vous devriez vérifier auprès de votre cliente, elle n’en serait pas à sa première omission... ». Plusieurs jours passeront sans nouvelles... Vanessa Pardini serait-elle en proie au doute ? Regretterait-elle son faux témoignage auprès des autorités andorranes ?

Finalement...

Mais, le soulagement arrivera, enfin, par la voie postale ! Un second courrier de l’avocat de Vanessa Pardini  reviendra à la charge. Ce dernier exigera, à nouveau le paiement de la somme ! Durant un court instant – l'on a cru que madame Pardini était revenue sur les rives de l’honnêteté. Et bien : Non !

Du grand art !

C'est donc par l’intermédiaire de son défenseur qu'elle pratique l’extorsion de fonds. Difficile d’exister aux côtés d'un pareil phénomène. Xavier Rossey le sait bien, lui, qui, effectivement, en petit poisson pilote, évolue  dans les eaux troubles de madame Pardini.

Comment va-t-il s’y prendre ?

Le Gaillard ne fait pas dans la dentelle. C'est un frontal ! Et, ses méthodes de travail s’en ressentent. Voulant s’inspirer des méthodes de Vanessa Pardini, il se risquera aux mêmes procédés. Mais, lui, par ailleurs, sans génie.

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Il va menacer...

Bien qu'ayant perçu un règlement de 9800€ en mars 2021, il engagera son chantage, il exigera, alors, le paiement d’une somme de 300.000€. " Sinon, je dépose plainte ! "

20 millions d’euros pour la fin avril 2021

C’est comme lorsqu’il manipule le dossier confié aux autorités andorranes. Il le fait pour alerter l’humanité de l’existence d’une « escroquerie » d’ampleur internationale « visant à récolter 20 millions d’euros pour la fin avril 2021 ». Finalement, depuis cette échéance, les juges andorrans lui réclament : " Où est passée l'escroquerie annoncée ? " Ceux-là même qui ont cru sur parole ce bon Xavier Rossey. Si cette arnaque existait cela leur rendrait service !

( Dans un prochain épisode de la saga, nous vous dirons comment ce duo s'est attaché les services de faux-témoins et autre vrai faux architecte... )

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