Toutes en mini jupes !
A l'heure où le port l'abaya revient à l'ordre du jour, la polémique enfle entre ses partisans et ses opposants. Or, la question ne se pose pas ! Le principe de la laïcité doit être rappliqué au sein de la République française. Une suspension de la décision de l'interdiction serait très grave pour son autorité. Aussi, Top Exclusif ! propose de solutionner la question. Pourquoi la libération de la femme ne passerait-elle pas, par le retour à la mini-jupe ? Humour ou sérieux ?
Top Exclusif ! prends des positions tranchées
Emancipation de la femme
L'attribut emblématique des années soixante avait fait scandale au sein des anciennes générations. On la disait " osée " et révoltante". Toutefois, rappelons que la mini jupe à marqué la révolution de la mode féminine devenant un symbole puissant. Précisément, l'émancipation de la femme. La mini-jupe traduisait l'énergie d'une jeunesse en mutation rejetant les normes traditionnelles de la mode. Accompagnée de bottes hautes, de collants opaques elle a popularisé des femmes comme Brigitte Bardot ou, encore, Jean Shrimpton.
Pas dans l'espace public !
En 2023, le principe de la contre-culture reste toujours associé à la jeunesse. Il est légitime. Hélas, les supports adoptés ne sont pas dignes d'exprimer la propre identité de son utilisatrice dés lors qu'ils s'opposent au principe de la laïcité. L'abaya, mesdames et mesdemoiselles revendicatrices de son port, ne peut s'accepter dans un espace public. Notamment, au sein de l'enseignement public. Appuyer le sens de sa religion et s'affubler à son domicile de cet atour, n'est pas dérangeant. Il prend des allures troublantes lorsqu'il déborde sur la liberté visuelle des autres. En France, l'on s'habille à l'Européenne.
Le dilemme n'existe pas.
Notre pays, insidieusement, se laisse envahir par l'esprit musulman et ses règles. Pour respectable qu'il soit, celui-ci ne doit plus déborder sur notre culture. Peu à peu, les hommes, porteurs de barbe, en signe de " tendance ", et les femmes revêtent partout les habits significatifs de cette religion. Pourtant, le dilemme n'existe pas. Dés lors que l'on accepte de vivre sur un territoire dont la dominante religieuse est différente de la sienne, l'on se doit, si l'on veut pratiquer sa religion, d'afficher sa neutralité. Cela s'appelle le principe de laïcité... Et de liberté !