Violences au quotidien : on attends des réponses fermes

Publié le mardi 15 juin 2021Rédigé par Joël-Pierre Chevreux
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Violences au quotidien : on attends des réponses fermes. La gestion de la France menée par Emmanuel Macron, doit nous inspirer plusieurs réflexions, notamment sur l'évolution de la fureur dans le pays. En effet, face à l’autorité de l’État, malmenée depuis de longues années, en raison des fauteurs de troubles de toutes nationalités, des questions restent en suspend. Un constat troublant qu’enregistrent les Français. Or, reporter sur Emmanuel Macron l’intégralité de cet épisode douloureux ne constitue pas une réflexion très objective.

Un prolongement excessif

L'inertie des gouvernements, depuis plus de vingt ans, a conduit successivement la France,  à cet échec crucial. Le phénomène " violence " n'est pas récent. Il participa, en 2002, eu rejet électoral de Lionel Jospin.  Ce constat, aujourd'hui, n'en est que le prolongement excessif.  Cependant, il faut bien reconnaître que depuis bientôt cinq ans de présidence Macron, la situation n’a fait que s’empirer. Depuis 2017, Edouard Philippe et maintenant Jean Castex, n’ont pas, réellement, poussé au renforcement des lois à l’égard des malveillants de tous acabits. Pas davantage, ils ont travaillé à la restauration de l’autorité publique sur plusieurs niveaux. C'est pourquoi les ministres de l’Intérieur de Macron  échouent.  Leur mandat, imprécis, par manque d’autorité de leur supérieur  n’est jamais percevable.

Un phénomène qui s'aggrave

En effet, il aurait été judicieux, en particulier, de s’investir sur ces dossiers avec pour support l’Éducation nationale. C’est à la base, dès la plus petite enfance, que se traitent ces questions sociétales d’importance. Or, le phénomène du déchainement, en France, s'est considérablement aggravé depuis qu’Emmanuel Macron est président de la République. La montée de l’insécurité et les agressions quotidiennes proférées par une jeunesse désœuvrée, nous le démontrent. Par ailleurs, toutes ces manifestations qui dégénèrent et les violences perpétrées par certains policiers, dont pour certains, c’est toujours à eux que revient la faute, le président se doit de trancher fermement.

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Une violence banalisée

Il faut donc réaliser un travail d'éducation contrebalançant les thèses scabreuses de la gauche et de l’extrême-gauche estimant qu’il existe une violence sous-jacente exprimée par le racisme. Toute absence de réactivité est une lacune qui entache le bilan de son mandat. Cette violence, sous toutes ses formes, banalisée, puise, aussi, ses racines dans l’agression verbale jusque sur les réseaux sociaux. Elle s’étend jusque dans la menace, l’agression physique, car cette banalisation à pris des formes de banalité et constitue le seul moyen d’expression.

Bavures policières

C'est pourquoi l’insécurité progresse.  En 2021, elle pose une véritable provocation pour l’autorité politique. Elle accompagne les zones interdites des cités, interdites aux forces de l'ordre et où règnent la délinquance liée à la drogue. On la retrouve dans les manifestions qui dégénèrent, réglées par les casseurs justifiant les bavures policières, les passages à tabac. Mais, il serait logique de comprendre que cette violence, atteint aussi policiers et  gendarmes. La peur suscite les sévices et l’injustice...

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