Escorts boys : leurs vies secrètes à Paris. Qui sont ces garçons qui gagnent leurs vies en monnayant leurs charmes dans la capitale ? A l'heure où leur présence ressurgit avec l'affaire de Pierre Palmade, notre reporter à rencontré l'un de ceux, un garçon qui n'à, toutefois, jamais entretenu aucun lien avec l'humoriste.
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Des heures partagées avec des messieurs aisés
Boris, vingt-cinq ans, avoue, en outre, n'avoir jamais rencontré l'artiste. Mais, il connaît bien ses frasques publiques. ” Je ne joue pas dans la même division que ses fréquentations sordides ! ” avoue l'étudiant en histoire de l'art. Eloignant de ses relations les turbulents des nuits parisiennes trop agitées, le jeune homme tranquille refuse catégoriquement ce mode de vie. Bref, le milieu où la drogue et des addictions se conjuguent au quotidien, ce n'est pas pour lui. En revanche, il reste positif sur les arcanes d'un métier qui tourne autour de quelques heures partagées avec des messieurs aisés tout aussi sages que lui.
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Même le fils de bonne famille
Denis, un ” pote de régiment ” ainsi désigne-t-il un proche ami, il collabore partageant, parfois, leur clientèle réciproque. Notamment, lorsque le temps de ses études ne lui permettent pas de se consacrer à son activité privée. Dans son studio, en banlieue parisienne, il reçoit, deux fois par semaine des ” messieurs esseulés, ou mariés, qui recherchent une autre forme de plaisir contre une rémunération. ” Ses clients, il les recrute sur les réseaux sociaux et leurs conditions sociales sont très variables. Du directeur d'entreprise, l'homme politique, en passant par le notaire, ou le fils de bonne famille aisé...
” Je suis issu d'un milieu familial où l'argent ne manque pas ! Mes parents subviennent à mon loyer et aux charges, mais, par fierté, je ne demande pas beaucoup et les petits boulots ne rapportent rien. Lorsque je rencontre un homme qui me fait gagner deux ou trois cents euros dans la soirée, pour passer quelques heures agréables, il n'y a pas plus rentable...”
Exclus les gens vulgaires et les drogués
Boris, l'un des milliers d'escorts boys de Paris, raconte son récent séjour en croisière avec l'un deux. ” C'était formidable, dans un cadre de bon ton, nous avons échangé sur tant de sujets. Je préfère les hommes cultivés car le contact passe aussi par le dialogue et la présentation. Avec Denis, un copain de travail, proche voisin, nous n'avons aucune inclinaison pour les gens vulgaires ou les drogués. Ce métier est déjà assez particulier sans y rajouter des touches de vulgarité.
Souvent invité à dîner dans les meilleurs restaurants, à quelques dizaines de minutes du centre de Paris, en métro, Boris, se rend, parfois, le soir chez l'un de ces généreux. Enfin, au petit matin, comme beaucoup d'autres escorts boys, il intègre son minuscule appartement. Une nouvelle journée renaît, le nez plongé dans ses études jusqu'au prochain rendez-vous nocturne...
VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=q6JYUCKqmhU