Il avait traîné un chat derrière son vélo : six mois de prison ferme !

Publié le samedi 2 décembre 2023Rédigé par Olivier Duverneuil
Il avait traîné un chat derrière un vélo...

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Il avait traîné un chat derrière son vélo : six mois de prison ferme ! Il y a des nouvelles qui ravissent le coeur des défenseurs des animaux. Notamment, lorsque un salaud se retrouve derrière les barreaux après avoir maltraité un animal. Bref, une manière de démontrer que, parfois, la Justice donne des exemples, sans clémence, envers les tourmenteurs…

Trente mentions à son casier judiciaire

Nice est une ville réputée pour son soleil, et sa population un peu plus fortunée que dans le reste de la France. C’est dire que l’on devrait, aussi, y retrouver des personnes de qualité, celles qui ont encore un sens moral et une haute idée du respect du vivant. Il faut croire, qu’ici, aussi, il existe des individus malsains capables de faire du mal à des animaux. Effectivement, à Nice, comme ailleurs, un homme qui compte trente mentions à son casier judiciaire, s’est cru obligé, alcoolisé, au mois de juillet dernier, en pleine rue, Roquebillière, de traîner un chat traîné derrière un vélo. Les pattes brûlées, le pauvre animal a dû être hospitalisé. Une dizaine d’associations de protection animale parties civiles ont réclamé des dommages et intérêts. Elles ont obtenu gain de cause.

Derrière les barreaux

En effet, l’homme, si l’on peut encore le désigner ainsi, à été condamné a six mois de prison ferme, le mercredi 29 novembre. De fait, le procureur de la République avait requis une peine de huit mois de prison contre lui, mais l'affaire se termine par la case prison et la nouvelle réjouit les associations de protection animale. Elle démontre, aussi, aux amis des bêtes indignés par autant de cruauté que la Justice sait, parfois, répondre de manière sévère en condamnant fermement les êtres indignes. Ceux qui profitent de la faiblesse d’un animal pour le tourmenter. L’affaire avait fait grand bruit sur la Côte d’Azur. Nombreux sont ceux qui disent aujourd’hui au regard de ce «pauvre type» de quarante-sept ans : « C’est justice que de le voir sous les barreaux pourvu qu’il y reste six mois pour comprendre qu’un animal ça se respecte… » Enfin, il a également écopé d'une interdiction définitive de détenir un animal et d'exercer un métier en lien avec les animaux. Trente mentions à son casier judiciaire.

Quant à nous, nous lui souhaitons un bon séjour en prison !

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