Meurtre enseignante, trop, c'est trop !

Publié le mardi 28 février 2023
Meurtre enseignante, trop, c'est trop !
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Meurtre enseignante, une fois de plus, c’est une fois de trop ! Pour le gouvernement, le meurtre sordide de malheureuse professeur à St-Jean-de-Luz risque de changer la donne en matière de sécurité. C’est, en tout cas, ce qu’il annonce. Il est temps !

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Ensauvagement de la société

Or, si ” le temps n’est pas le temps de la polémique ", dit Philippe Delorme, il est à la colère et à l’incompréhension. Cet ensauvagement de la société est insupportable. Notamment, chez les plus jeunes. Nos enfants et leurs professeurs sont en danger en se rendant à l’école. En écrivant ces lignes, nous songeons à cette enseignante paisible, peut-être avait elle des projets de vie imminents, avec son époux. Elle ne rentrera plus chez elle, ne retrouvera plus sa famille, n’assurera plus ses cours d’espagnol, comme elle le faisait depuis des années. Avec compétence et dévouement.

Pauvre femme !

Assassinée, froidement d’un coup de couteau par un élève dans cette institution Saint-Thomas d'Aquin, un lycée tranquille. Il faut, désormais, s'interroger sur les causes qui ont conduit ce genre de drame. On a vulgarisé la violence à travers les jeux vidéos destinés à la jeunesse, les films diffusés chaque soir sur les chaînes de télévision que toute cette nouvelle génération n’attache plus d’importance à la vie.

Froidement poignardée

Cette violence, propagée, aussi, par les réseaux sociaux fait de nombreuses victimes. Récemment, Lucas, ce jeune garçon de treize ans qui s’est suicidé, à cause d’une exécrable persécution. Aujourd’hui, c’est une enseignante froidement poignardée. Mais, quand va-t-on, dans ce pays, prendre les dispositions nécessaires pour ne plus encourager cette violence gratuite ? LIRE AUSSI  : https://infopremiere.fr/chasse-a-courre-la-fin-dune-pratique-cruelle

Surveillance parentale rigoureuse

Alors, l’on cherche des circonstances banales là où elles n’existent pas vraiment, ou faiblement, en appuyant sur le Covid et le confinement sanitaire. Les pauvres petits chéris enfermés chez eux devant leurs vidéos  ! Une fois de plus, l’on se moque du monde. La fragilité de ces ados ne vient pas de là. Elle émane de l’absence d’une surveillance parentale rigoureuse. Premièrement, un enfant doit être encadré et surveillé, et, deuxièmement, sur le plan psychologique dès l'annonce du moindre comportement décalé. En attendant, avec ce meurtre de trop, une pauvre femme à payé de sa vie les insouciances de la société. Et, malheureusement, l’avenir pourrait nous fournir d’autres cas, car la violence est à nos portes. Jusqu’à quand ? VOIR : https://www.youtube.com/watch?v=FT9Fr9VsYGQ
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